Certains tiennent ce figaro déjanté [le coiffeur de Marie-Antoinette] pour responsable de la Révolution. Sans aller jusque-là, il a alimenté à coups de peigne l’image futile de la reine. Le peuple meurt de faim et son coiffeur joue à déverser le panier de la ménagère sur les têtes couronnées. Les folles coiffures en ces temps difficiles prennent l’allure d’une provocation, d’une farce de mauvais goût.