tout ce passe comme si le statut juridique de réfugié effaçait toute autre identification possible – la perte de l’identité est d’ailleurs quasi systématiquement postulée comme connexe au déplacement – et comme s’il y avait désormais une identité de réfugié, dans le sens premier d’identique puisque les différentes populations concernées sont regroupées sous cette appellation englobante censée engendrer une communauté de destin, voire de culture