Encore aujourd'hui, avec les lycéens comme avec mes élèves de primaires, je ne crois pas au temps dirigé mais aux façons de laisser les clés de leur éducation aux enfants, de leur accorder de l'autonomie, de les encourager à se mettre à la place de leurs enseignants, à tout ce qui construit la confiance.
C'est sans doute pendant ces années que j'ai appris que pour aider les élèves à réussir, il faut les mettre en confiance par le bonheur.