A les entendre, l’ancien musée du Congo Belge a non seulement été restauré, rénové de fond en comble, mais plus encore rajeuni, délivré de ses préjugés et de son lourd passé, en un mot – et je me borne une fois encore à citer leur propos – « décolonisé ». Une ambition qui mérite d’être examinée en ces temps de déboulonnage.