« Moi, Zeïla, je ne dors jamais. Quand nous sommeillons, je gamberge. Ce que nous croyons être des rêves sont en fait des histoires que je nous raconte. Souvent Grand Bassin revient, les parents, les frères et soeurs, le passé ou celui que j'invente quand Odélise était petite et heureuse. »