Et donc il s'était trompé : les livres n'existaient pas seulement dans l'esprit, mais aussi dans le corps. Les mots étaient un souffle, on les ressentait, on les comprenait par le corps et par l'esprit.Ils sont l'eau, et lire nager. Comme autrefois dans l'eau, on peut s'y abandonner : le corps et l'esprit forment un tout.