Un sang pour un sang. Une mort d’homme pour une mort d’homme.
On ne tue pas sous son toit. On ne tue que sur certains chemins. On accorde des trêves pour les travaux agricoles…
Fallait-il que ce peuple soit fou, malade de violence, pour que ses hommes les plus instruits n’aient pu trouver, à travers les siècles, d’autres lois.
N’aient pu que contrôler, du mieux qu’ils pouvaient, les cascades de meurtres.