Avec Michelet, les sorcières deviennent de fabuleuses créatures, des femmes qui savent exprimer ce que recèle la nature humaine primitive, quand les hommes se sont perdus dans la raison. Elles ne sont pas ces êtres vils et impurs ainsi désignés par l’Eglise, mais l’incarnation même des forces du vivant. Elles sont femmes, mères, gardiennes du foyer, nourrices et guérisseuses, par nature et par nécessité !