Celui qui pleure
ne sait rien. Celui qui pleure sait déjà
que tout se précipite. Il est
novembre, à Vienne, un soir d'hiver,
il est tard
pour rester seul, pour attendre l'homme
vêtu de gris, le messager
qui va surgir bientôt, demandant, réclamant
qu'on célèbre la mort, qu'on fasse
vite.