Citation de gill
Or, petit à petit, la France naissait.
Cela commença tout de bon quelques mille ans après que les nefs de Phocée eussent atterri dans le Vieux Port De Marseille ; quelque cinq cent ans après que César eût éprouvé la science nautique et l'énergie guerrière des Vénètes et de leurs alliés.
Clovis alors unifia le durable royaume dont il fut le vrai fondateur. Charlemagne, l'an 800 de notre ère, alla plus loin et, se faisant couronner, par le pape Léon III, empereur d'Occident, voulut faire de la France la métropole du Monde.
Notez qu'il régnait effectivement de l'Elbe à l'Ebre et de la Manche à l'Adriatique.
Il n'empêche qu'un jour, affirme le moine de Saint-Gall, l'Empereur très chrétien, passant par un des ports de sa Gaule Narbonnaise, pleura d'angoisse en apercevant des vaisseaux scandinaves qui déjà sillonnaient la Méditerranée, toutes voiles au vent.
C'est que Charlemagne, quelque immense qu'il fût, n'était point marin.
Les vikings, eux, l'étaient....
(extrait du deuxième chapitre "Les normands en France, au IX °siècle de notre ère - les normands en Angleterre, l'an 1066 - la guerre de cent ans s'avère inévitable" du volume paru en 1962 aux éditions "Flammarion".)
Cela commença tout de bon quelques mille ans après que les nefs de Phocée eussent atterri dans le Vieux Port De Marseille ; quelque cinq cent ans après que César eût éprouvé la science nautique et l'énergie guerrière des Vénètes et de leurs alliés.
Clovis alors unifia le durable royaume dont il fut le vrai fondateur. Charlemagne, l'an 800 de notre ère, alla plus loin et, se faisant couronner, par le pape Léon III, empereur d'Occident, voulut faire de la France la métropole du Monde.
Notez qu'il régnait effectivement de l'Elbe à l'Ebre et de la Manche à l'Adriatique.
Il n'empêche qu'un jour, affirme le moine de Saint-Gall, l'Empereur très chrétien, passant par un des ports de sa Gaule Narbonnaise, pleura d'angoisse en apercevant des vaisseaux scandinaves qui déjà sillonnaient la Méditerranée, toutes voiles au vent.
C'est que Charlemagne, quelque immense qu'il fût, n'était point marin.
Les vikings, eux, l'étaient....
(extrait du deuxième chapitre "Les normands en France, au IX °siècle de notre ère - les normands en Angleterre, l'an 1066 - la guerre de cent ans s'avère inévitable" du volume paru en 1962 aux éditions "Flammarion".)
