Il est naturel à l’homme de souhaiter d’être heureux, mais le vrai bonheur n’est nulle part : l’homme trouve difficilement le bien qu’il cherche ; inquiet sur ce qu’il n’a pas, rarement il est inquiet sur ce qu’il possède… Le mieux, après lequel on court, ne vaut pas le bien que l’on possède, il est en nous-mêmes.
L’espérance est le songe de l’homme éveillé.
Celui qui sait le plus doit instruire celui qui sait le moins ; c’est un devoir qu’il contracte avec l’humanité.