Le mot de passe
(Un chanson écoutée dans le noir)
Que la voix de ta poésie
tantôt sanglote et tantôt rie,
même si par temps de souffrance
dans la nuit souvent elle crie :
pourvu qu’en rêvant
elle prie,
pourvu qu’à l’oreille
elle danse,
pourvu qu’au réveil
elle chante,
afin que, dans les pleurs, son sourire t’enchante...