« Comme la vie passe et comme elle nous entraîne ! Je me demande quel est son but car je ne crois pas qu'elle ait un but. Quand je descends à Beaune, que je marche dans la rue, le soir, à l'heure où il y a beaucoup de monde, je me dis toujours : voilà, nous sommes tous là, tous, et dans cent ans, il n'y aura plus personne de nous, mais d'autres, des étrangers. Et l'on ne parlera plus de nous. Tout anéanti. Pourquoi passe-t-on ainsi par fournées dans la vie ? »