maintenant la chair…
maintenant la chair
glisse sur rien
longuement tu te tais
il y a la plaie le sang
vivre couteau
c’est sans parole
il y a les multiples du visage
les multiples disait-on
peut-être s’agit-il simplement
de crier le bleu dans le rouge
puisque le vent s’est levé
de n’avoir plus froid