Il me faudrait désormais chercher le contrepoison, le moindre mal, la peste qui fait aimer le choléra. Je devrais non plus vivre mais durer, assurer ma pérennité, essayer de persévérer dans le vivant, parmi les vivants, dans cette vie palliative pleine de cognées et de saignées, de larmes grosses et de coups de dés, de meurtrissures, de séquelles et de tuméfactions, de stérilités et d’impuissances.