On peut ainsi entendre des personnages aussi peu suspects de souhaiter le «repli national» qu'Hubert Védrine ou Jean-Louis Bourlanges convenir à demi-mot que l'affaire est dans l'ornière. Citant le second, le premier explique en effet : «Jean-Louis Bourlanges a dit ironiquement que les Européens n'auraient même plus la force de se séparer. Mais il y a un risque de stagnation.»