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Critiques de Cornnell Clarke (13)
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Peanut Butter, tome 3

Molly est entrée à l'université à San Diego. Erika et leurs parties de jambes en l'air lui manque. Avec sa colocataire, l'entente n'est pas au beau-fixe. C'est alors qu'elle rencontre Jean, une jeune étudiante noire qui lui rappelle Erika et Azuka, une jeune asiatique. Les trois jeunes femmes vont découvrir qu'elles partagent la même passion pour le sexe...



C'est un tournant dans la vie de Molly qui, maintenant, est loin de chez ses parents et ami(e)s de jeunesse. Elle doit apprendre à vivre avec des inconnus, dans ce nouveau monde qu'est l'Université. Il faut dire qu'après une quinzaine, la jeune femme s'adapte et retrouve de quoi satisfaire sa libido débridée. L'auteur nous livre les frasques de Molly toujours sous la forme de son journal intime. Ne me demandez pas quelles études entreprend l'héroïne. On ne la voit que peu étudier si ce n'est l'anatomie masculine et féminine en gros plan. Ca suce, ça pénètre, ça mouille et ça gicle dans tous les sens. Ce n'est pas vraiment intellectuel et cette bande dessinée, je devrais plutôt dire cette histoire illustrée est à lire sous le manteau, tant elle est explicite. J'en avais conscience puisque j'ai lu les deux premiers opus. Téléchargé en format PDF sur le site "La Musardine", la qualité de numérisation est excellente. Enfin, j'hésiterais à envoyer ma fille poursuivre ses études aux USA mais l'auteur reste constant dans les fantasmes qu'il partage avec nous. Peut-être au prochain numéro, même si je ne m'attends pas à ce que le scénario devienne plus étoffé. Le trop nuit en tout...

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Peanut Butter, tome 2

Dans ce deuxième tome, nous retrouvons Molly pendant ses vacances. Ses parents viennent de lui louer un appartement à New-York où elle va y poursuivre ses études. Son amie et maîtresse Erika l'accompagne. Molly, consentante à toutes les expériences délurées proposées par Erika va vivre intensément toutes les jouissances qui lui sont offertes.

Pour ce deuxième opus, dédié, il est vrai, au sexe des deux adolescentes, rien n'est épargné aux jeunes femmes. Elles aiment ça, le journal intime de Molly ne raconte que ça ! A un point que parfois, cela peut devenir écœurant. Les dessins sont toujours dans le même style que le premier album, pas toujours constants côté qualité graphique. Les textes sont jalonnés de gros mots, un tantinet triviaux. A croire que le seul mot que connaisse vraiment Molly, c'est "p'tain" (comme dans le texte). Il apparait presque à chaque page. Mais, ayant lu le premier, je savais où je mettais les pieds et les yeux en téléchargeant ce livre. J'ai choisi la version PDF car la qualité de la numérisation est bonne. Donc, pas vraiment d'histoire mais côté pornographique, vous serez comblés. Au prochain numéro ?

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Peanut Butter : Le journal de Molly Fredric..

Molly est une jeune fille étudiante qui est en terminal. L'année scolaire se termine. Prochaine étape, l'université. Elle est élève dans une école catholique dirigée de mains de fer par de sévères religieuses. Elle découvre les plaisirs du sexe et partage ses expériences par le biais de son journal intime.

Bande dessinée ou roman graphique ? Un peu des deux. La part belle du texte est celle des pages écrites par Molly. Les dialogues, quant à eux, sont réduits à leur plus simple expression. Les mots sont triviaux, le scénario est orienté pour privilégier le sexe. Il ne faut donc pas s'attendre à de la bonne ou grande littérature. La pornographie jalonne les dessins et l'action. Nous sommes donc en présence d'un livre plus pornographique qu'érotique. A ne pas laisser entre toutes les mains. Ce livre serait-il le reflet de la face cachée de la pudibonderie étasunienne ? Je ne pense pas que la jeunesse américaine se livre à des comportements aussi extrêmes en matière de stupre.

La qualité graphique des dessins n'est pas toujours égale. Le texte vous fera économiser pas mal de neurone. Il n'empêche que quelques phrases ou scènes sont malgré tout émoustillantes. Je suis curieux de découvrir la suite. J'ai juste appris que le beurre de cacahuètes pouvait servir à autre chose que le petit-déjeuner.

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Peanut Butter : Le journal de Molly Fredric..

Les dessins sont plein de charme et les héroïnes ont des arguments plutôt convaincants. Et malgré le côté décousu de l'ensemble on se laisse facilement porter par les "évènements" !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Peanut Butter, tome 5

Encore une saga interminable… Sept tomes qui racontent la même chose – Molly découvre le sexe au lycée et continue sur sa lancée à l’université –, plus un spin-off autour d’un des personnages (sœur Jacqueline).

Y a pas vraiment d’histoire, juste les personnages font des trucs d’étudiants qui se terminent chaque fois en scène de cul. Aucun risque de se claquer les neurones avec les dialogues qui sont réduits à leur plus simple expression. Alors par contre à côté, on a la blinde de texte sous forme de journal intime, qui donne à la BD un côté roman graphique… et surcharge au possible la mise en page. Et encore dans la version Dynamite, ça va à peu près. Je me suis aussi tapé il y a un bail la VO, hyper moche en noir et blanc et illisible tant la mise en page n’arrivait pas à tout contenir du texte narratif, de l’image et des dialogues.

Le journal, ça partait d’une bonne idée, mais sorti d’un one-shot, le procédé perd de son impact. D’autant plus que le récit est toujours le même avec toujours la même péripétie : des gens se croisent et baisent. Dire que c’est répétitif redéfinit la notion d’euphémisme.

Ajoute à ça que j’accroche pas au style graphique que je trouve hideux (en couleur, parce qu’en noir et blanc, y a pas de mots en français pour décrire l’abomination que mes yeux ont vécue…) et à l’arrivée on obtient une saga qui m’aura déplu sur tous les points de bout en bout. Un exploit à sa façon.
Lien : https://unkapart.fr/critique..
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Peanut Butter, tome 4

Encore une saga interminable… Sept tomes qui racontent la même chose – Molly découvre le sexe au lycée et continue sur sa lancée à l’université –, plus un spin-off autour d’un des personnages (sœur Jacqueline).

Y a pas vraiment d’histoire, juste les personnages font des trucs d’étudiants qui se terminent chaque fois en scène de cul. Aucun risque de se claquer les neurones avec les dialogues qui sont réduits à leur plus simple expression. Alors par contre à côté, on a la blinde de texte sous forme de journal intime, qui donne à la BD un côté roman graphique… et surcharge au possible la mise en page. Et encore dans la version Dynamite, ça va à peu près. Je me suis aussi tapé il y a un bail la VO, hyper moche en noir et blanc et illisible tant la mise en page n’arrivait pas à tout contenir du texte narratif, de l’image et des dialogues.

Le journal, ça partait d’une bonne idée, mais sorti d’un one-shot, le procédé perd de son impact. D’autant plus que le récit est toujours le même avec toujours la même péripétie : des gens se croisent et baisent. Dire que c’est répétitif redéfinit la notion d’euphémisme.

Ajoute à ça que j’accroche pas au style graphique que je trouve hideux (en couleur, parce qu’en noir et blanc, y a pas de mots en français pour décrire l’abomination que mes yeux ont vécue…) et à l’arrivée on obtient une saga qui m’aura déplu sur tous les points de bout en bout. Un exploit à sa façon.
Lien : https://unkapart.fr/critique..
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Peanut Butter, tome 3

Encore une saga interminable… Sept tomes qui racontent la même chose – Molly découvre le sexe au lycée et continue sur sa lancée à l’université –, plus un spin-off autour d’un des personnages (sœur Jacqueline).

Y a pas vraiment d’histoire, juste les personnages font des trucs d’étudiants qui se terminent chaque fois en scène de cul. Aucun risque de se claquer les neurones avec les dialogues qui sont réduits à leur plus simple expression. Alors par contre à côté, on a la blinde de texte sous forme de journal intime, qui donne à la BD un côté roman graphique… et surcharge au possible la mise en page. Et encore dans la version Dynamite, ça va à peu près. Je me suis aussi tapé il y a un bail la VO, hyper moche en noir et blanc et illisible tant la mise en page n’arrivait pas à tout contenir du texte narratif, de l’image et des dialogues.

Le journal, ça partait d’une bonne idée, mais sorti d’un one-shot, le procédé perd de son impact. D’autant plus que le récit est toujours le même avec toujours la même péripétie : des gens se croisent et baisent. Dire que c’est répétitif redéfinit la notion d’euphémisme.

Ajoute à ça que j’accroche pas au style graphique que je trouve hideux (en couleur, parce qu’en noir et blanc, y a pas de mots en français pour décrire l’abomination que mes yeux ont vécue…) et à l’arrivée on obtient une saga qui m’aura déplu sur tous les points de bout en bout. Un exploit à sa façon.
Lien : https://unkapart.fr/critique..
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Peanut Butter, tome 2

Encore une saga interminable… Sept tomes qui racontent la même chose – Molly découvre le sexe au lycée et continue sur sa lancée à l’université –, plus un spin-off autour d’un des personnages (sœur Jacqueline).

Y a pas vraiment d’histoire, juste les personnages font des trucs d’étudiants qui se terminent chaque fois en scène de cul. Aucun risque de se claquer les neurones avec les dialogues qui sont réduits à leur plus simple expression. Alors par contre à côté, on a la blinde de texte sous forme de journal intime, qui donne à la BD un côté roman graphique… et surcharge au possible la mise en page. Et encore dans la version Dynamite, ça va à peu près. Je me suis aussi tapé il y a un bail la VO, hyper moche en noir et blanc et illisible tant la mise en page n’arrivait pas à tout contenir du texte narratif, de l’image et des dialogues.

Le journal, ça partait d’une bonne idée, mais sorti d’un one-shot, le procédé perd de son impact. D’autant plus que le récit est toujours le même avec toujours la même péripétie : des gens se croisent et baisent. Dire que c’est répétitif redéfinit la notion d’euphémisme.

Ajoute à ça que j’accroche pas au style graphique que je trouve hideux (en couleur, parce qu’en noir et blanc, y a pas de mots en français pour décrire l’abomination que mes yeux ont vécue…) et à l’arrivée on obtient une saga qui m’aura déplu sur tous les points de bout en bout. Un exploit à sa façon.
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Peanut Butter : Le journal de Molly Fredric..

Encore une saga interminable… Sept tomes qui racontent la même chose – Molly découvre le sexe au lycée et continue sur sa lancée à l’université –, plus un spin-off autour d’un des personnages (sœur Jacqueline).

Y a pas vraiment d’histoire, juste les personnages font des trucs d’étudiants qui se terminent chaque fois en scène de cul. Aucun risque de se claquer les neurones avec les dialogues qui sont réduits à leur plus simple expression. Alors par contre à côté, on a la blinde de texte sous forme de journal intime, qui donne à la BD un côté roman graphique… et surcharge au possible la mise en page. Et encore dans la version Dynamite, ça va à peu près. Je me suis aussi tapé il y a un bail la VO, hyper moche en noir et blanc et illisible tant la mise en page n’arrivait pas à tout contenir du texte narratif, de l’image et des dialogues.

Le journal, ça partait d’une bonne idée, mais sorti d’un one-shot, le procédé perd de son impact. D’autant plus que le récit est toujours le même avec toujours la même péripétie : des gens se croisent et baisent. Dire que c’est répétitif redéfinit la notion d’euphémisme.

Ajoute à ça que j’accroche pas au style graphique que je trouve hideux (en couleur, parce qu’en noir et blanc, y a pas de mots en français pour décrire l’abomination que mes yeux ont vécue…) et à l’arrivée on obtient une saga qui m’aura déplu sur tous les points de bout en bout. Un exploit à sa façon.
Lien : https://unkapart.fr/critique..
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Peanut Butter, tome 5

C'est frontal, parfait pour tout amateur de scènes pornographiques toutes plus explicites les unes que les autres ! Avis aux fans du genre !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Peanut Butter, tome 4

De la BD de cul, mais qui, mine de rien, fait très bien son job. C'est démonstratif, les filles sont très belles, les mecs ont ce qu'il faut, des étudiantes avec des basketteurs blacks, c'est assez cliché, me direz-vous, mais pourquoi se fatiguer à chercher plus loin, ça fonctionne, point barre !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Peanut Butter, tome 3

Sans être la série très originale par excellence, Peanut Butter demeure très sympathique !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Peanut Butter, tome 2

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