Au moment de le manger, je me demande quelle partie je vais goûter en premier, laquelle est la moins pire. Pendant ce questionnement, je me souviens soudainement d'une discussion assez sombre que j'avais eue avec un ami, quelques années auparavant : on se demandait justement, en situation de survie extrême, quelle partie de l'un de nos collègues on mangerait en premier , advenant qu'il soit décédé...
Pour moi, c'était une passion démesurée, pas un moyen potentiel de gagner ma vie.