Comme le dit souvent Pierre :
"Au bout d'un moment, ce sont nos possessions qui nous possèdent. Nous en devenons les esclaves. Dans la sobriété, il y a quelque chose de libérateur."
Moins nous avons besoin de choses, moins nous avons besoin d'argent et plus nous pouvons choisir ce que nous voulons faire. C'est le début de la révolution. (p. 40)