et ton corps traversé reste accroché aux berges
les étoiles refluent dans ta bouche
tes vêtements dociles aux partages du fleuve
dansent lourdement dans nos yeux
le froid aux armures féeriques déchire
la fleur étale du silence
l'enfant te cherche dans le vide
le visage collé à la grille
où ses yeux se forment pour toujours