Je me demande si l'esprit de taquinerie ne fait pas partie des mobiles qui me poussent à écrire ce livre : à puiser ainsi dans des textes non orthodoxes, je réussirai peut-être à parler de ce qui me tient à cœur dans une langue à la fois accessible à l'intellect et suffisamment imagée pour laisser une trace dans l'esprit du lecteur et contribuer ainsi à l'écroulement des portes d'Ulro.