Ses perceptions devenaient confuses.
C'était ça le combat. On provoquait le chaos, tout en tentant de ne pas s'y impliquer ni d'en être affecté. C'était un mélange d'impulsions ardentes et de logique de sang-froid. C'était se battre avec émotion, mais réfléchir avec sa tête, presque comme si l'esprit était le maître et le corps la bête, tous deux étant en désaccord et pourtant bizarrement semblables. Et quand ces deux forces s'alignaient l'une sur l'autre, c'était écœurant et exaltant à la fois.