J'ai palpé du nez ma ville adorée ! Celle à laquelle je pardonnais tout. Les indélicatesses de son opulence. Son dédain ostentatoire de parvenue. Ses allures humaines d'arriviste. Son talent d'aguicheuse. Ses provocations estivales de pompe à fric. Ses camouflages en bourgeoisie vénitienne. Et même ses meurtriers indispensables à ses statistiques policières !