« C’est une beauté différente, monsieur le… monsieur Churchill. Là-bas, il n’y a que de la roche, de la glace et une lumière impitoyable. Presque tout, même l’air, est si froid qu’il en devient tranchant. Il n’y a pas la moindre verdure au-dessus du camp de base, pas même de lichen. Rien de vivant, à part les alpinistes et quelques corbeaux. Pas d’arbres, pas de feuilles, pas d’herbe… presque rien de doux. Que du roc, de la glace, de la neige et le ciel. Ici, tout est infiniment plus… délicat. Plus… humain. » p. 631-632.