Il n’y avait là ni infirmières ni médecins — aucun adulte. Pas de berceaux non plus : les bébés et les petits enfants étaient assis su le sol carrelé ou se disputaient une place sur une demi-douzaine de matelas sans literie et tachés d’excréments, jetés contre le mur du fond. Ils étaient nus et on leur avait rasé le crâne. (Albin Michel, p.28)