Sous le couvert de ce qu’on a appelé une guerre civile, des groupes mayas ont été victimes d’un véritable génocide, surtout au cours des années 1980-1984, un génocide dirigé essentiellement par l’oligarchie au pouvoir. Le bilan : 200 000 mort·es, 100 000 déplacées, 626 villages détruits, d’innombrables viols, torture et mutilations ; 83% des victimes sont des Mayas