La très grande majorité de la population vit modestement, voir misérablement. Pratiquement aucune habitation ne bénéficie de ce qui est de nos jours associé au confort minimal : pas d'eau courante, pas de salle d'eau, pas de W.C. et évidemment pas de lumière, hormis celle dangereuse, que dispensent bougies et lampes à pétrole. Les incendies accidentels sont un des fléaux de l'époque, et rasent parfois tout un quartier de constructions en bois.