Quand P’pa était en prison, elle ne voyait jamais le même galant plus de deux soirs de suite : c’était la règle. La première nuit passe comme un pet, après deux nuits c’est un pincement au cœur mais quand on a couché trois nuits ensemble, la souffrance commence à poindre et il en faudra une quatrième, une cinquième puis un nombre infini pour l’apaiser. Le cœur s’en mêle et se met à tisser des rêves tandis que les tourments s’annoncent. Le cœur ourdit des rêves qui s’apparentent à des projets.