quelqu'un a dit un jour qu'être adulte, c'est accepter ses parents tels qu'ils sont. Or on voudrait que nos parents soient parfaits, qu'ils se montrent à la hauteur de nos idéaux. On ne leur fait aucun cadeau, et, d'un autre côté, on attend d'eux qu'ils ferment les yeux sur toutes nos erreurs. A un moment donné, cette asymétrie ne peut plus fonctionner. (p.177)