Bientôt, les grandes marées d’octobre où tu crains
d’être emportée toi aussi par vagues successives.
Ton quotidien s’efface et n’arrive plus à t’enserrer,
ni à te protéger du vide.
Bercée par ce qui te retient, tu fermes les yeux
et tu contemples ce que tu sais encore de l’horizon.