L'attitude de l'accusé, Kabuo Miyamoto, assis très droit sur sa chaise, les mains posées bien à plat devant lui, était pleine de fierté et d'une grâce un peu raide. Il semblait aussi détaché que peut l'être l'homme obligé d'assister à son procès. Plus tard, une partie de l'assemblée ne verrait que dédain...