Citation de collectifpolar
Un vent du large soufflait en rafales, arrachant au sol brûlant des tourbillons de poussière et de sable. L’avion se posa sur une bande d’asphalte longeant la mer avant de s’immobiliser face à une Mercedes aux vitres sombres.
À bord de la berline, le chauffeur manipulait une chevalière à hauteur de visage, comme fasciné par la croix d’argent incrustée sur le dessus et qui captait avec magnificence les rayons du soleil. Bientôt, la porte du jet s’ouvrit et deux types apparurent sur le seuil de l’escalier escamotable. Ils scrutèrent la zone avant de laisser passer un homme en costume clair qui rejoignit la voiture.
— C’est bon de revenir ici, dit-il en s’installant à l’arrière.
À bord de la berline, le chauffeur manipulait une chevalière à hauteur de visage, comme fasciné par la croix d’argent incrustée sur le dessus et qui captait avec magnificence les rayons du soleil. Bientôt, la porte du jet s’ouvrit et deux types apparurent sur le seuil de l’escalier escamotable. Ils scrutèrent la zone avant de laisser passer un homme en costume clair qui rejoignit la voiture.
— C’est bon de revenir ici, dit-il en s’installant à l’arrière.
