Les bodachs sont indissociablement liés à la mort, comme les abeilles aux fleurs ; ils semblent en boire le nectar. Un décès ordinaire, cependant, n'attire pas un bodach, et encore moins un détachement entier. Je n'ai jamais l'une de ces créatures rôder dans les couloirs d'un service de cancérologie, ni autour d'une personne sur le point d'avoir un infarctus fatal.
C'est la violence qui les attire. La violence et l'horreur.