Partout où je posais les yeux, un détail me charmait : des fleurs de saison flottant dans une coupelle de grès, une collection de maneki-neko et de masques d'Okame, des libellules brodées sur ses tabliers.
Obaasan avait l'art de rendre les choses simples aussi précieuses que la danse des lucioles. C'est aussi pour ça que je l'aimais.