Pour Obaasan, comme pour beaucoup de Japonais, les repas se devaient d'être aussi bons que beaux. Et je ne me lassais pas de l'observer rouler le riz des onigiris entre ses doigts, poser patiemment de petits légumes en saumure sur de fines tranches de thon ou verser le mugicha dans des céramiques fleuries.