Avec le clown, Julie a découvert quelque chose d'organique. Quelque chose de l'ordre du ressenti. Lorsqu'elle se passe le nez, elle découvre ce qui remue en elle, elle tente de se connecter le mieux possible avec ce qu'elle est. Elle décrit cela comme se défaire des carapaces :
- « Être clown, c'est être à nu. »