Empathiclown m’a emmené dans quelques coins où la société glisse les poussières sous le tapis : j’ai un regard plus proche sur les sans-abri, les malades d’Alzheimer, les villages et le handicap. J’ai dû renoncer à ce que je considérais comme des oxymores : on peut être à la fois clown et très calme, à la fois clown et méditatif. J’ai découvert un programme libre et généreux. Sauf qu’il n’y a rien de programmé.