AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Denis Parent (7)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Grand chasseur blanc

Simon, la cinquantaine, s’est exilé en Asie. Il se retrouve à Bali où il fait la connaissance de Jean-Bat, un québécois homo qui va le prendre sous son aile. Simon raconte ce qui lui arrive, parle de son passé, de ses errances et de ce qu’il ressent, entre nostalgie, désillusions et espoirs.

De Simon, au début du roman, on ne sait pas grand-chose. C’est petit à petit que nous en apprenons plus sur lui et que va se dérouler le fil de son passé. Ancien écrivain médiatique, divorcé, deux enfants, il fuit un procès dont on ne connaitra la raison qu’à la fin de son périple.

Le ton du roman est à la verve et à l’exotisme. Nous sommes en Indonésie et on le ressent parfaitement. L’écriture imagée nous plonge dans le décor. C’est fort bavard et ça parle d’alcool, de sexe, d’amitié virile, de famille et, aussi, de création littéraire. Simon s’interroge sur les idéaux de son adolescence, sur tout ce qui est parti en vrille depuis son mariage. On est balloté entre gravité et légèreté et souvent, c’est drôle avec une touche de cynisme. Une phrase de la quatrième de couverture résume à elle seule l’essence du roman : « portrait doux-amer – et néanmoins épique ». Je n’aurais pas pu mieux dire.

J’ai reçu ce roman dans le cadre de Masse critique et quand je l’ai découvert, j’ai eu peur de ne pas aimer. L’introspection ne fait pas partie de mes préférences littéraires - surtout quand elle s’étale sur quatre cents pages - mais j’ai apprécié le périple de Simon. Ecriture convaincante ? Sympathie pour les personnages, profondément humains ? Richesse des thèmes abordés ? Un peu de tout cela sûrement a fait de ma lecture un moment de plaisir. Si j’ai parfois été agacée par les nombreuses soulographies des personnages et le vocabulaire un brin vulgaire utilisé de temps à autre par l’auteur, j’ai, au final, été charmée.

On a ici un roman tout à fait abouti et prenant, qui nous offre une réflexion sur la vie en général, sur la société post soixante-huitarde et c’est intelligent, pas pompeux pour un sous et bien ficelé.

Commenter  J’apprécie          170
Grand chasseur blanc

Détestable Simon Sorreau. A cause de démêlés avec la justice, cet écrivain français se retrouve en cavale à Bali. Il y raconte sa nouvelle vie, ses rares nouveaux amis, ses regrets, son métier.

Cynique, désabusé, insolent, il a tout vu, tout fait, a un avis sur tout. Il n'a aucun côté attachant, est parfois lâche.

Evidemment, l'auteur a voulu rendre son personnage affreux, mais un peu trop.
Commenter  J’apprécie          52
Grand chasseur blanc

J'aimerais tant parvenir à bien vous parler de Grand chasseur blanc et vous donner envie d'aller à la découverte de cette histoire de désillusions-réalités qui sautent au visage à un moment d'une vie.



De cet écrivain en cavale, qui, pour des raisons que l'on ignore durant une bonne partie du roman, s'exile et se retrouve encore plus coupé du monde et des siens, et du coup se rapproche de lui même et reprend le contrôle.

En plein coeur de Bali, isolé dans une vie insulaire (...), il dérive et se livre à une importante introspection: sa fuite, son passé, la nostalgie de certains souvenirs, la déception d'un présent très amer...

Tout cela aurait pu être "pénible" sur 460 pages, mais ça ne l'est pas le moins du monde, parce que ce n'est pas que nostalgique, c'est aussi drôle.

Désabusé, ironique, oui, mais terriblement drôle.



Oui il est drôle avec son analyse et son recul.

Et parfois les sourires sont attendris, car il est touchant, Simon/Didier, cet homme qui change d'identité et fuit pour rester libre. Pour ne pas payer le prix d'un geste (ô combien punissable, il en convient) résultant d'un burn-out personnel.



Denis Parent nous donne un point de vue masculin sur la vie de couple, de la rencontre à la douleur d'une séparation, les enfants (qui prennent parti, s'éloignent...), les souvenirs, les hérissons que l'on laisse derrière soi (...), les coups bas, la violence d'un divorce, et la ruine...

(ce qui ne l'empêchera pas de se laisser encore surprendre et de revivre de beaux emportements...).

Grand chasseur blanc est aussi une jolie histoire de rencontres entre "hommes", une amitié (débutant de manière hilarante) entre deux hommes très différents mais toujours présents l'un pour l'autre; et une rencontre avec les balinais pour qui les occidentaux restent des énigmes (et d'intéressants gagne-pain).

C'est aussi le parcours d'un écrivain à succès qui se dédouble, se défait de son nom et de l'image "glamour" de l'auteur, pour en observer avec ironie les effets pervers.

Et c'est surtout l'amour d'un fils loin de ses parents vieillissants, d'une mère attaquée dans sa féminité, des parents dont l'espérance de vie rallonge tout en ne ralentissant pas leur déclin...
Lien : http://blablablamia.canalblo..
Commenter  J’apprécie          50
Grand chasseur blanc

Ce roman ce sont un peu les chroniques douces - amères d'un écrivain fort d'un premier et unique succés, d'une ancienne personnalité de premier plan en fuite sous les tropiques à la recherche de son prochain livre, de l'inspiration et de l'oubli.

Pourquoi Didier Neveu, ancienne star mondaine se retrouve t-il dôté d'un faux passeport au nom de Simon Sorreau, en stop prolongé à Bali ? Entre description des sites touristiques de cette destination, de son peuple, de rencontres plus ou moins heureuses avec d'autres expatriés, il s'installe là à enchaîner les cuites, les négociations à distance avec sa maison d'édition, les coups de fil avec son ami d'enfance pourvoyeur d'argent liquide, sa propre jeunesse en délivrant à ses lecteurs des bribes d'information sur sa fuite, ses relations violentes avec son ex-femme, sa rupture avec ses enfants et ses arbitrages éloignés entre sa mère et son beau-père....

Peut-on toujours échapper à son histoire personnelle, à ses démons intérieurs, ses souvenirs d'enfance, son pays d'origine ? C'est la quotidien de sa vie d'exilé que nous vivons par le menu. C'est aussi , dans une certaine mesure, un exposé touristique sur cette destination, sur la culture locale, le décalage entre notre monde occidental, nos valeurs et celles de la société indonésienne...un hommage en quelque sorte.

Puis viennent se créer des liens d'amitié, de quasi fraternité avec cet autre expatrié, homme d'affaires québécois, Jean - Bart, entre deux amants, des chroniques triviales ou croquignolesque de ces deux anti-héros mais aussi une relation avec la veuve indonésienne si perspicace.... Un armistice court avant que n'arrive le nouvel amour en la personne de Jeanne, leur relation fusionnelle, passionnée mais aussi le passé encombrant avec le passage et la rencontre inopinée d'un ancien ami d'enfance mettant en péril la poursuite de la cabale ou bien encore la vaine tentative de renouer une forme de dialogue avec le fils avec lequel on a rompu, brisé par la haine et la volonté de destruction de sa femme.

Beaucoup d'éléments finalement traités de façon plus ou moins égale autour de cette retraite et cabale..... Peut-elle se poursuivre indéfiniment ? Peut-on changer à ce point de personnalité et tuer son ennemi intérieur ?

Un écriture de qualitén un récit ordonné, malgré quelques longueurs et le bilan d'une génération, celle des années 70, perdue et libertaire
Lien : http://passiondelecteur.over..
Commenter  J’apprécie          30
Chants d'amour, tome 1 : La rencontre

Le concept est simple et forme un savoureux cocktail. Il m’a complètement séduit.

« Chants d’amour » est divisé en quatre tomes qui regroupent quatre nouvelles écrites par huit auteurs et autrices différentes.



Le premier tome est titré « La rencontre », le deuxième « Le secret », le troisième « Clash » et le quatrième étant titré « (Happy) end ». Il est nécessaire, bien sûr de les avoir tous et de tous les lire, pour comprendre les nouvelles.

Ce sont quatre histoires d’amour sur le thème du coup de foudre et de la discorde, chacune écrite à quatre mains, par un binôme auteur / autrice, dont l’un ou l’une commence le récit et dont l’autre en écrit une suite. Chacun.e mettant en valeur un des personnages de l’histoire initiale, en y ajoutant aussi son propre style et en veillant à une belle continuité et harmonie.



La première histoire « Nerver gotta Let you down » brillamment commencée par Fanny Salmeron, que j’ai découverte à l’occasion et continuée par Arnaud Le Guilcher, un romancier que j’ai aussi découvert et apprécié.

Eva est une jeune fille de seize ans qui s’ennuie dans le camping où elle accompagne ses parents tous les ans. Plus intéressée aux jeux qu’aux garçons, elle va cependant rencontrer Sacha. Les deux jeunes gens seront attirés l’un vers l’autre.

Cette rencontre est-elle un hasard ? ou est-ce le plan diabolique, d’un pacte que Sacha a signé avec un groupe de jeunes gothiques désœuvrés ?

Mais le jeune homme tombe amoureux d’Eva et son challenge sera très dur à relever...



La deuxième histoire « Near love expérience » est commencée par Denis Parent, bien imaginatif et continuée par Claire Barré.

Claire qui fut vraiment très inspirée, par ce récit bien « alambiqué », par ce voyage traumatisant pour les deux personnages du roman. L’auteure était dans son élément.

C’est l’histoire de Simon Sorreau qui s’écroule d’un infarctus dans un jardin. Marie Sherrer, une ravissante chirurgienne, qui passait à ce moment, le sauve in extrémis. Elle l’opère en lui implantant un cœur artificiel et disparait.

Simon va alors bientôt voir d'étranges scènes où il se retrouve à vivre dans la peau de la chirurgienne qui l’a sauvé. De désagréables sensations vont voir le jour, comme lorsque Simon va sentir les coups que Marie reçoit de son mari violent et jaloux.

Mais ce phénomène prend de l’ampleur lorsque Marie apprend à Simon qu’elle a la sensation aussi de vivre en lui, qu’une permutation extraordinaire s’est opérée. Les deux amants vont finalement se retrouver. Leur rapprochement charnel va se révéler fascinant et très déstabilisant aussi.

Et leur vie sera totalement bouleversée...



La troisième histoire « Les tourtereaux du 127 ». Elle est commencée par Anna Rozen et continuée par Charles Berberian, excellents et bien en phase tous les deux.

Cette fiction raconte la rencontre entre la jolie Elvire, qui s’ennuie dans la vie et dont son appartement vient de prendre feu et Vladimir son voisin, un garçon très doux, très attiré par la jeune femme.

Par un concours de circonstances, ils se retrouveront tous les deux, dans un groupe de vieilles personnes, pour des vacances au Guatemala….

Elvire, qui est plus dans la dynamique, commence fermement à s’ennuyer parmi ces vieux qui la regardent parfois avec convoitise. Tandis que Vladimir, plutôt lymphatique, ravi de la compagnie de son amour, n’est pas affecté par ce manque d’activité, dans cet hôtel perdu au milieu de rien.

Le couple éclatera...



Enfin, la quatrième histoire « Zigzags » est commencée par Jérôme Attal et est continuée par la truculente Juliette Bouchet, que j’ai découvert grâce à ces présents « Chants d’amour ».

Dans cette fiction légère et moelleuse à lire, Victor Aumont, célibataire a un grand projet. Celui d’ouvrir une pâtisserie, au cœur de Paris, pour vendre sa spécialité ; des éclairs en forme d’éclair.

Un jour, son ami d’enfance, un joueur de poker, lui parle qu’un organisateur mystérieux. Celui-ci recherche un cuisiner pour faire un gâteau à l’occasion d’une soirée privée. Ce sera bien payé.

C’est ainsi que Victor se retrouve les yeux bandés, dans une voiture qui l’amène à cette soirée.

II sent à ses côté une présence, celle d’Olympe, une femme qui a aussi les yeux bandés. Chacun fera la connaissance de l’autre. Victor append qu’Olympe est la fille qui sera dans le gâteau. La soirée s’annonce très spéciale !

Le choc sera terrible, lorsque Victor ayant terminé son gâteau, découvrira la beauté d’Olympe lorsqu’elle entra dans la grosse pâtisserie.

Victor va tomber vite amoureux. Et c’est aussi à ce moment que les ennuis commenceront.

Olympe ne sera pas en reste d’ailleurs. Car la belle se révèlera plus mystérieuse et plus secrète que Victor ne le pensait.

Suite à un grave incident qui s’est produit à une de ces soirées, Olympe disparait…



Jérôme Attal, un auteur que je découvre, alterne l’écriture de ce récit avec Juliette Bouchet. Il est plein de verve et plein d’humour.

Quant à Juliette Bouchet, est m’a semblé encore très inspirée, avec toujours cette belle énergie à raconter. Elle excelle dans les bons mots, dans la répartie qui fait beaucoup sourire.

Mais le style si plaisant de l’épisode II changera de ton à l’épisode IV.

L’auteure terminera cette belle histoire d’amour, avec un style plus lyrique et poétique.

S’attardant sur les états d’âme de Victor, sur le manque sidéral créé par l’absence d’Olympe. Un homme qui ne peut se résoudre à oublier son amour perdu.

La fin sera bouleversante.

Commenter  J’apprécie          10
Grand chasseur blanc

j’ai été happée par ce livre ! j’ai aimé ce livre ! mais, parce qu’il y a un mais, il ne faut pas craindre certaines descriptions un peu « osées »… l’auteur appelle un chat, un chat (et pas de mauvais jeu de mots !) j’ai passé l’âge de m’offusquer pour si peu, ce n’est pas graveleux, mais « décomplexé » (si l’on peut dire !), cela peut choquer, je dirai que c’est un livre de « mec »..

On vit l’exil volontaire de Simon Sorreau qui a fui la France et a trouvé refuge à Bali… on découvre peu à peu qui est cet homme… un indice : c’est un écrivain à succès...

Des descriptions sans complaisance et au vitriol, de sa vie d’avant, de sa vie d’aujourd’hui, de l’univers qu’il côtoyait dans sa vie d’avant et celui qu’il côtoie aujourd’hui…

Les titres de chapitres sont du style « quand je serai grand, je ferai zombie et je pourrai enfin vivre ma mort ! »

Denis Parent était journaliste cinématographique, il est actuellement scénariste et bien sûr écrivain ! on ne peut s’empêcher de faire le parallèle entre le personnage de son roman et lui… mais bon, c’est un roman.

Commenter  J’apprécie          10
Sanguinaires

Bravo « le pinz » !!





Sans nul doute, c’est ce que diront et ont déjà dit les lecteurs corses ! La plus belle des critiques s’ajoutant à celles de tous les autres lecteurs que ce roman a déjà conquis.



On part de Corse, des Sanguinaires, cet « archipel de corses miniatures », d’Ajaccio, son décor sublime, dépeint tel un tableau vivant, à coup de touches de couleurs, de lumières, portraits si réalistes des habitants, sous la chaleur méditerranéenne.



L’écriture, est telle une caméra qui observe en gros plan ou s’éloigne à toute vitesse , travellings et zooms avant s’enchaînent . Quand Denis Parent parle de son livre, il n’est pas rare qu’un lapsus révélateur lui échappe : film.



On comprend vite pourquoi.



Un drame familial avec, comme trame, la force des liens du sang.



Les femmes sont presque absentes, restent dans l’ombre, comme un talon d’Achille, dont on ne parle parle pas.



C’est une fuite éperdue d’Est en Ouest, de l’Île de Beauté vers le Continent.



Une histoire d’hommes. On pourrait penser que le sujet a été traité mille fois et que rien de nouveau n’est dit. Pourtant si !



Ce qu’il y a de nouveau, c’est « l’effet Parent."



L’essentiel est ailleurs.



Il y a Hugo le grand-père, Seb son fils, et Vittoriù le petit fils.



Hugo apprend que Seb vient d’être assassiné :



"J’ai la gerbe, je pense à ce petit con, mort sans un mot, qui me désigne de ses doigts arrachés comme celui qui l’a mis sur cette route dont la destination était aujourd’hui, dans ce soleil de haine, devant le bar L’Aiglon, sur un parking du quartier de l’Albert 1er, un matin de notre ère où son sang va nourrir les mouches."

Dés lors, une priorité s’impose à Hugo : protéger Vittoriu, son petit fils, quitte à ne pas être présent aux obsèques de son fils unique. Dans ce monde qui bascule pour l’enfant, il faut qu’il retrouve sa mère, puisque le père n’est plus, et que jusque là, pour Vittoriu « son dossier sur elle est vide »



Le récit alterne avec tour à tour sous le regard d’Hugo, de Vittoriu, et de Seb ! Oui Seb, car même mort, il est présent comme un ange qui veille et protège la fuite de son père et de son fils.



Dans cette « histoire d’hommes », le héros c’est ce petit bonhomme de 12 ans, le fils de Seb, fascinant Vittoriù. Un petit génie, un peu autiste, si drôle et touchant à la fois, qui vous porte sur ses « ailes de géant qui l’empêchent de marcher » …



Il a une perception du monde bien à lui, et à son âge, il a su comprendre que la langue française manque parfois de mots dans certaines situations. Il invente des mots, « les mots valises ». Il apprend à son grand-père à « rêvaliser », sa façon à lui d’appréhender le monde, entre rêve et réalité :



"Je vois bien qu’il me croit qu’à moitié et surtout qu’il se demande à quoi ça sert d’immersticer dans la rêvalité.

L’enfant voit des choses comme s’il recevait « des cartes postales dans son cerveau » .



Seb, le fils fantôme, celui qui a « mal tourné » sait bien qu’il n’a pas été « le fils qu’il fallait .»



Et c’est comme une volonté inconsciente d’Hugo, grand-père, de se racheter auprès de Vittoriu de ce rôle de père qu’il a raté avec Seb.



Hugo dira cependant de ce fils perdu :



Je ne voulais pas qu’il meure, je ne voulais pas qu’il meure. Parce que je n’en pouvais plus. Le deuil c’est aussi voir partir quelqu’un qu’on se sentait, malgré toute la bonne volonté du monde, incapable de retenir.

Il y a aussi ce que l’on retrouve de façon récurrente dans les romans de Denis Parent, la musique. Une ponctuation, comme une respiration vitale, qu’il s’accorde passionnément. Les notes de « Voodoo Chile » d’Hendrix, Deep purple, Black Sabbath, Led Zeppelin nous emportent lors d’un concert improvisé où Hugo se lâche à la batterie.



Au cours de ce voyage organisé dans l’urgence, Vittoriu comprend vite, malgré cet épais silence sur la tragédie dans lequel on l’enferme, qu’il ne retrouvera pas son père à Disney comme prévu.



Il faut surtout fuir la mort qui est à leurs trousses car Seb, le mauvais garçon a trempé là où il ne fallait pas. Il faut fuir dans ce camion qui file à fond, Vittoriu planqué à l’arrière, et Hugo le Beretta sur les genoux.



Un périple à cent à l’heure qu’on a beaucoup de mal à quitter.



Alors, pour connaître l’issue du voyage, votre destination prochaine c’est « Sanguinaires » !!



Par Brigitte Ponthieu sur La toile cirée.

https://latoileciree.wordpress.com/2016/03/16/sanguinaires-une-chronique-pas-assassine/


Lien : https://latoileciree.wordpre..
Commenter  J’apprécie          10


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Denis Parent (44)Voir plus

Quiz Voir plus

Titres d'albums

Quel titre d'album n'a-t-il PAS été créé par les Beatles ?

A hard day's night
Beggars banquet
Yellow submarine

8 questions
34 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}