Citation de Alfaric
[Temüdjin à Djamuqa trahi et vaincu]
- Viens, mon ami, marchons un peu... Jadis, nous étions inséparables. Et puis un jour, tu m'as abandonné, mais te voici revenu. Soyons unis comme autrefois.
- Non, Temüdjin. Tous les peuples mongols sont maintenant rassemblés sous ta bannière ! Je ne peux plus être ton anda. Tue-moi, grand khan. Mais si tu veux que mon esprit garde ton cœur en paix, fais-le sans verser mon sang.
- Je n'en ferai rien... Tu restes mon anda.
Quelques temps plus tard, en 1205, Temüdjin finit par accéder à sa demande et fit exécuter Djamuqa. Le lien qui les unissait était vraiment particulier.
- Viens, mon ami, marchons un peu... Jadis, nous étions inséparables. Et puis un jour, tu m'as abandonné, mais te voici revenu. Soyons unis comme autrefois.
- Non, Temüdjin. Tous les peuples mongols sont maintenant rassemblés sous ta bannière ! Je ne peux plus être ton anda. Tue-moi, grand khan. Mais si tu veux que mon esprit garde ton cœur en paix, fais-le sans verser mon sang.
- Je n'en ferai rien... Tu restes mon anda.
Quelques temps plus tard, en 1205, Temüdjin finit par accéder à sa demande et fit exécuter Djamuqa. Le lien qui les unissait était vraiment particulier.
