Citations de Denis-Pierre Filippi (147)
Chacun son job. Vous sauvez et nous, on tue !
MINNIE : C'est vrai, ça ne devrait pas être aussi long normalement...
DINGO : Au temps pour moi ! J'ai oublié d'activer le casque !
MINNIE : DINGOOO...
DINGO : Ben quoi ? Vu notre expérience, je me suis dit qu'un bouton ON-OFF pourrait servir !
MICKEY : C'est pas faux...
Ma femme a la passion des articles de défense. Pourtant je ne cesse de lui répéter que ses charmes suffisent à désarmer n'importe qui.
Emilien _ Toi aussi tu as été recrutée par le gouvernement américain ?
Lucile _ Non, j'aide mon oncle, nous sommes ici (à Alcatraz) chez lui. Après y avoir passé un petit séjour forcé, il a trouvé assez ironique de racheter cette île et d'en faire son complexe d'études.
Noémie _ Nous sommes chez Al Capone ?! C'est lui le spécialiste des fédéraux ?!
P. 19
Il y a peu, j'ignorais tout des Atils. Puis, à force de fréquenter Ag' Nilat, j'ai cerné certaines caractéristiques de son peuple.
L'une des plus prégnantes est ce goût du mystère quant à leurs origines. On ne connaît même pas la localisation de leur planète mère.
Autre particularisme: ils semblent avoir une évolution inverse à la nôtre. Au début de sa vie, chaque individu possède comme un savoir universel. Puis, se faisant sa propre expérience, il se spécialise, s'individualise et perd en quelque sorte en sagesse.
— Comment tu le sens ?
— Tu veux parler des astéroïdes qui se baladent, des écumeurs qui nous pistent ou du générateur nucléaire de 5000 mégawatts sur le point d'atomiser cette parcelle de l'univers ?
— Ok, moi aussi je le sens bien.
-Jacques, Macé, regardez ! Qu'est-ce donc que cela ?
-Je crois que c'est leur manière de récolter les coquillages qu'ils affectionnent tant. Ils cultivent leur monnaie d'échange sur les cadavres de leurs ennemis...
-J'hésite entre totalement ignoble et merveilleusement ingénieux...
Nous avons réussi à accéder à une partie de leur Cloud via un ghost de l’interface séquentiel de leur réseau.
-Ag’ si tu as un autre tour de magie, c’est le moment.
-Non, pas d’autre tour de magie. J’évalue notre survie à 3 minutes
-J’adore quand tu frôle l’optimisme !
-Ce sont des illustrés !
-Pas n'importe quels illustrés, de la science-fiction! La connaissance et le savoir ne font pas tout. Sans imaginaire, l'esprit reste enfermé et est condamné à répéter les expériences des autres.
-C'est la définition d'un professeur, ça!
-D'un mauvais, surement. Stimuler son imaginaire, c'est avoir la possibilité de créer son propre monde.
Je savais trop bien, qu'au pays des hommes le bonheur est de courte durée.
La magie est un atout sur lequel il est bon de pouvoir compter, mais il faut savoir l'utiliser avec mesure.
[un jeune moine au patriarche Chang Chun]
- A vous entendre, c'était quelqu'un de bon.
- C'était quelqu'un de juste... à sa manière.
Lorsque je suis allé passer ces quelques années à ses côtés, j'ai eu le temps d'essayer de le comprendre. Je dis bien essayer, car je ne prétends pas y être arrivé, nul ne le pourra jamais. Cependant, je crois avoir cerné, enfouie au plus profond de lui, la part d'humanité qui a façonné le conquérant impitoyable qu'il fut.
– Qui aurait pensé, il y a 20 ans, que l’on arriverait à tirer de cette catastrophe toutes ces choses ? Je veux dire les ballons, le gaz pour les cités volantes, les nouveaux matériaux… ?
– L’adaptation, Ernest, c’est là le secret de notre longévité.
- Comme c'est gentil à toi d'être venu aussi vite ! Deux jours pour parcourir quoi... 7 lieux [sic.] à vol d'oiseau ?
- J'avais... j'avais une commande à terminer et à livrer en chemin, un léger détour...
- Je vois... la précision "sans délai" aura peut-être échappé aux messagers, je m'assurerai qu'ils ne reproduisent plus cette erreur.
- Maintenant que vous le dites, ça a peut-être été mentionné...
- Ça n'est que plus regrettable pour eux. Un bon messager sait faire passer son message.
Je n'ai rien trouvé à lui dire. C'est peut-être mieux, mais j'avais du mal à m'en convaincre....
Le plus dur avec les soucis, c'est de n'avoir personne avec qui les partager!
- Vous n'allez pas tous dormir sous cette tente, quand même ? !
- J'ai bien peur que si, Monsieur. Monsieur et Madame ont gardé cette habitude. Simplicité n'est pas l'ennemi du confort, se plaisent-t-ils à répéter.
- Surtout quand cette simplicité s'accompagne de cinq domestiques…
Bien sûr, plus Temüdjin fédérait de clans à sa cause, plus s'exacerbait la rivalité avec Djamuqa ! C'est en 1187 que, secondé par ses alliés, Temüdjin allait enfin l'affronter ! Mais sur le terrain, cette première rencontre n'allait pas tourner à l'avantage de Temüdjin... [...]
Djamuqa s'acharna sur les tribus alliées de Temüdjin. Exerçant son implacable cruauté et multipliant les exécutions, contrairement à Temüdjin qui intégrait les prisonniers à ses troupes.
S'il avait réussi à mettre en déroute l'armée de Temüdjin lors de cette bataille, cette victoire guerrière se transforma en défaite politique. Sans le vouloir, il allait augmenter le prestige et l'aura de son rival.
- Djamuqa est paraît-il un homme qui se lasse. S'il s'est lassé de nous, ne nous arrêtons pas avec lui et partons, nous sommes en danger. Éloignons-nous, au plus vite !
Temüdjin fut sensible au discours de sa femme et, dans l'instant, décida de se séparer de Djamuqa. S'ils étaient des amis si intimes, pourquoi cette séparation si soudaine ? Surtout quand on sait quels ennemis ils ont faits par la suite !
C'est une question à laquelle je n'ai jamais obtenu de réponse claire. Mais comme tu le soulignes, du jour au lendemain, d'anda ils sont devenus ennemis jurés !