Sándor Márai sur Kosztolányi : Il était počte. Il adressait des počmes d’amour ŕ la langue hongroise et ŕ la Hongrie. Tous les jours, il offrait ŕ son pays quelque savoureuse combinaison de mots, ici une expression nuancée, lŕ une phrase ironique ou pathétique. Il n’appartenait ŕ aucun parti. En écrivant, il ne pouvait compter sur la compréhension d’une société sans classes… Il ne croyait pas au peuple. Il écrivait, tout simplement. Et il ne se sentait bien que dans la loge du concierge.