Mon imagination file en croisant les villages, les champs et les plaines.C'est beau, la France, à la vitesse d'un train.Je t'imagine à l'autre bout de ces rails, dans un pays de nuages.Je voudrais glisser ma main dans tes cheveux, de gauche à droite, comme sur mon clavier, pour effacer en musique le mauvais rêve qui vient se créer, t'inventer des notes roses au lever du soleil, des notes bleues quand la nuit se fait opaque, des notes ocre comme les maisons de Rome où nous voulions tant aller.