- Comme cela sent bon ! dit-il. Comme cela nous change de notre froide Champagne !
Arcis le tempère aussitôt :
- Quant à moi, je trouve que cela sent plutôt le sang ! Celui des Arabes, des Juifs et des Francs.
- Sans doute, mon ami, poursuivit Payns, mais c’est dans le sang que s’écrit l’Histoire.