Mais il leur reproche surtout d'avoir cédé à l'exigence des terroristes eux-mêmes de hisser leurs crimes sur le terrain de la guerre et de la religion, et ainsi de s'en être rendus complices, soit par aveuglement, soit par intérêt politique, marchand, académique ou souci d'audience, et il souligne dès lors leur responsabilité devant l'histoire et surtout les victimes, actuelles et à venir.