Une nuit où j'avais fini par m'endormir, son parfum m'a tiré du sommeil.Elle était devant moi, nue, agenouillée. Elle pleurait. Je me suis redressé sur mon lit de moine. Elle a enlacé mes jambes, elle est descendue jusqu'à mes pieds, les a mouillés de ses larmes, les a séchés avec ses cheveux en me demandant pardon. Je l'ai repoussée, aussi doucement que j'ai pu. Je lui ai dit que ses péchés étaient remis. Elle a continué,m'a embrassé la cheville, a léché mes orteils du bout de la langue. J'ai rabattu le drap sur moi. Elle a écarté ses cuisses, aproché ses doigts pour caresser mon visage.