Une partie considérable des millions de Ouïghours mais aussi de Kazakhs enfermés dans les camps de concentration ethniques et religieux par la Chine sont des femmes. Nombre d'entre elles ont témoigné des conditions de vie inhumaines et dégradantes dans les camps, de la torture infligée, des viols en réunion, des injections qui ont causé l'arrêt de leurs menstruations...