Au Liban, contrairement à ce qu’on raconte, la vie ne s’est jamais arrêtée. Lorsque la guerre bat son plein, la vie devient jouissance. Car, vivre est l’acte ultime des femmes et mourir est leur déchéance. Disparaître sous terre ne peut être la volonté que des plus faibles ou le sort des moins chanceux. Les autres ont mieux à faire. S’agripper au plaisir pour se nourrir d’espoir.