Pour ma part, je ne savais plus être ni agressif ni affable à la napolitaine. Mes cellules avaient dû expulser les particules de fureur pour les enfouir comme des déchets toxiques dans des recoins secrets, et une politesse distante avait pris le dessus, totalement différente de cette politesse venue du cœur, présente aussi bien chez cet homme, qui me fit aussitôt mon café que chez la jeune fille qui me le servit sur un plateau avec le jus de fruit pour le petit…