À certains moments, j'ai l'impression d'être en amour avec l'amour... Je n'arrive même plus à contrôler mes battements cardiaques à la vue d'un beau gars. De plus, je leur trouve presque tous un petit quelque chose d'irrésistible. Je dois être atteinte d'une maladie quelconque. Espérant pour vous qu'elle ne soit pas contagieuse ! J'aime beaucoup trop la gent masculine.
Il est primordial de ne pas déplacer les victimes. Vous pourriez aggraver leur cas. Mieux vaut attendre que les secours soient sur place.
Dans le fond, il était temps... temps que je pense à ma vie. On dit que l'éloignement est parfois bénéfique.
La majorité des bons gars sont attirés par des filles perturbées. Ils préfèrent les femmes inaccessibles ! Complexe, cet être humain...
C'est une loi universelle, les filles apprécient les bons gars mais simplement comme ami. En amour, elles préfèrent les hommes qui les font souffrir. Étrange, cette nature...
À force de ne jamais m'exprimer, les gens empiètent sur mon territoire. C'est le cas de le dire !
Toute bonne chose a une fin !
Elle est d'humeur massacrante et si parfois j'ai pensé que ma sœur était rigide et austère, je vous jure que ces temps-ci, Saddam Hussein est un enfant de chœur à ses côtés ! En fait, elle est dans la même énergie que ma mère. Constamment prête à chialer sur des balivernes, et ce, avec un aplomb plus que débordant. Douteux ! Surtout pour une personne qui se maîtrise si bien en temps normal. Freud dirait sûrement que c'est là sa façon d'extérioriser sa tristesse. Et moi ?! Qu'est-ce que je fais pour l'évacuer ? Probablement comme d'habitude... Je l'enfouis profondément dans mes tripes et tente de l'oublier. Un jour ou l'autre, il n'y aura plus de place pour l'entasser... je finirai bien par exploser ! Comme un ballon trop gonflé.
On ne sait jamais qui dit vrai dans leurs conflits.
Le problème, avec mes géniteurs, c'est qu'ils se livrent une guerre sans fin. Comparable à celle qui oppose Israël et la Palestine depuis des millénaires. Nous sommes piégées entre les deux à perpétuité. Coincées comme des mouches dans leur satanée toile d'araignée ! Nos tentatives pour en calmer un, ou demander à l'autre de se contenir, sont vouées à l'échec.
Mon état de stress avancé s'est finalement dissipé. Il était temps, car je ne crois pas que mon corps aurait pu en subir davantage. Angoisse, quand tu décides de nous posséder !
Comme la vie finit toujours par se charger de nous lorsqu'on ne veut pas voir clair...