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Citations de Dominique Durand (39)


Il faut commencer par perdre la mémoire, ne serait-ce que par bribes, pour se rendre compte que cette mémoire est ce qui fait toute notre vie.
Une vie sans mémoire ne serait pas une vie, tout comme l'intelligence sans la possibilité de s'exprimer ne serait pas une intelligence.
Notre mémoire est notre cohérence, notre raison, notre sentiment et même notre action. Sans elle, nous ne sommes rien.
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Les gens ont horreur de ce qu'ils ne comprennent pas. C'est ainsi.
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Comme tout homme, il avait souvent songé à la mort, cette composante de la vie que, à l’égal de notre naissance, nous ne déterminons pas. Des hypothèses, il en avait envisagé de nombreuses. Des fins brutales, accident de la route, infarctus, AVC ; des plus longues, décimé par une sournoise maladie ; des plus douces, partir de sa belle mort au terme d’une existence bien remplie, entouré de ceux qu’on aime. Oui, il en avait élaboré des scénarios, mais jamais il n’avait envisagé une telle fin. Succomber à une noyade au fond d’une caverne marine dans un pays, une région, un territoire sur lequel il ne pouvait même pas mettre un nom.
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On se lamente parfois sur notre sort d'adulte, on ne devrait pas oublier qu'il nous affranchit des entraves de l'enfance en nous offrant le plus beau des cadeaux, la liberté.
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Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.

Dalaï-Lama
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Ces « sauts de lignes » sont comme des informations. Elles ont la possibilité de voyager entre deux particules, à des vitesses supérieures à celle de la lumière, peuvent interagir sur notre temps immuable qui s’écoule inéluctablement au fil des jours, mais aussi sur celui qui régit les êtres humains. Ces sauts de lignes exceptionnels se manifestent à l’occasion de périodes de sommeil où le cerveau de l’homme est plus vulnérable et induisent des désordres chronologiques qui permettent, à de rares individus, de vivre inconsciemment ce qui se passera dans leur futur proche.
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La fin,
La conclusion inéluctable
Le dernier soupir,
La délivrance universelle,
Le grand voyage,
Le sommeil éternel,
Plus simplement, la mort,

Oui, juste la mort.
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Qu’y a-t-il de plus important ? Ce que nous avons dit ? Ce que nous avons pensé ? Ce que nous avons écrit ? Ce que nous avons fait ? Non restera ce que nous avons aimé.
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Je n’aimais pas les flics, disons l’uniforme en général. Toujours la peur du gendarme. Je devais tenir ça de mes parents, toujours soucieux de l’ordre établi, qui avaient dû ancrer en moi, dans les abysses de mon subconscient, une phobie des hommes d’autorité.
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...le peuple est par nature ignorant, stupide, potentiellement violent ; changer radicalement le monde ; il doit être gouverné par une élite éclairée ; une révolution dans l’histoire des hommes.
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Ce grand spécialiste de la physique quantique affirmait que, dans l’univers, tout était une question de lignes qui régissaient les lois du cosmos, du temps, mais aussi de l’être humain, qui passe lui aussi de lignes à d’autres en empruntant par exemple, aux moments-clés de son existence, celles qui s’apparentent au tunnel originel de la naissance, ou celles, claires et lumineuses, du long couloir de la mort. Ces lignes, affirmait-il, s’intercalent, se superposent, se croisent selon un ordre bien précis. Elles sont partout, sans incidence pour l’homme généralement, mais, parfois, sous la forme d’influx, occasionnent chez certains individus des bonds.
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Elle considéra sa fille qui avait perdu la candeur et l’insouciance qui lui seyaient si bien, faute à ses hormones en ébullition. Elle avait grandi, certes, son visage s’était modifié, lui conférant un regard plus dur, mais ce qui l’avait le plus impressionnée, c’était les deux vallons virginaux d’une couleur laiteuse qui se soulevaient à chacune de ses respirations.
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L'insouciance de l'enfance, loin de toute responsabilité, L'insouciance que nous éprouvons lors d'une balade en forêt ou à la mer, L'insouciance d'une vie accomplie avec ceux qu'on aime, un sentiment incroyable de plénitude, de bien être délicieux, un peu béat. Tu as raison Mila. Insouciance quel mot merveilleux !
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Leur héros du jour a su capturer leur ennemi de toujours.
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Quand cette personne vous manque viscéralement, que vous souffrez, que vous n’imaginez pas pouvoir continuer à vivre sans elle. Oui, quand cette absence vous rend malade, quand vous ne pouvez plus la supporter, là vous savez vraiment ce que veut dire aimer.
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Si celui que vous décrivez existe réellement, ce serait un sacré privilège ! p. 21.
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- Je fais ce que je veux, je n'ai pas de compte à te rendre !
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Le grand amour nous fait des promesses inaltérables que le temps rompt avec une certaine perversité. Son corps se tortillait sur moi. Elle m’attendait. Ces baisers n’étaient qu’un prélude insuffisant. Elle voulait plus, beaucoup plus.
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Ma bouche, affamée elle aussi, explora chaque parcelle de son corps comme un naufragé arpentant une île vierge où se nichent mille secrets. Une quête au goût d’interdit qui décupla mon excitation.
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Elle se jeta sur moi, posa ses lèvres sur les miennes. Elles avaient un délicieux goût de rhum et de menthe, mais aussi le goût de l’alcool, de la féminité, d’une certaine fébrilité également. Je me laissai bercer par ce long baiser passionné, excitant, prometteur. Nous reprîmes notre respiration pour quelques rasades du merveilleux nectar, et sous l’effet d’une douce euphorie, regagnâmes notre case. Ses yeux brillaient comme de l’or. Son ventre avait faim. Elle arracha son maillot. Je me ruai, à sa demande, sur son corps déjà nu qui pleurait des caresses qui ne venaient pas.
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